Category Archives: Enfants

Letter from my 10 year old

Dear mother earth
I am sorry for what we have done.
I have tried to use less litter but sometimes I just forget. When I am at school I don’t have any litter in my lunch box. At home we are growing plants in our vegetable garden and try not to buy things with plastic wrapping.
What we should be more careful of is trees and plants, without plants we can’t breath without us trees can’t breath.

One of my mum’s friends is making a non-plastic market.
Did you know that in some places in the world there is more plastic than plankton so little fish eat plastic and then bigger fish eat little fish with plastic inside them then we catch the fish with plastic inside and then we cook it and the plastic melts and we end up eating that plastic that we made.

I am so sorry for what we have done.We will change!
Yours sincerely
Ellia

Our Beautiful Children

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10 choses à ne jamais dire à un enfant

 

Trouvé sur le fabuleux site de:   http://lespepetesdenosenfants.wordpress.com

 

10 choses à ne jamais dire à un enfant.

Ce sont souvent des phrases que l’on prononce presque sans y penser, sans se rendre compte des ravages qu’elles peuvent faire chez l’enfant qui les entend. Alors, avant de leur faire du mal, souvent malgré nous, voici des mots qu’ils ne devraient jamais entendre !

« Tu es le plus grand, tu dois montrer l’exemple »

Etre plus grand que ses cadets donne certes quelques capacités d’avance. Mais cela ne propulse pas pour autant un enfant dans un âge adulte et responsable qui l’obligerait à atteindre une certaine forme de perfection ! Même s’il est plus grand, il est encore un enfant et doit être reconnu en tant que tel. Le « priver de bêtises » serait comme ne pas le reconnaître pour ce qu’il est… Et presque lui enlever notre reconnaissance de parents. Déjà qu’il a eu du mal à accepter son petit frère, voilà qu’en plus de lui piquer ses parents, il lui piquerait son droit à l’erreur. Trop, c’est trop !

« Ton frère, lui, a toujours été calme et gentil»

Il faut éviter absolument la comparaison entre les enfants et il est bon qu’ils sachent très tôt que leurs parents les aiment, tous différemment, mais avec autant d’intensité. Plutôt que de chercher ce que l’autre enfant a de « mieux », ne manquez jamais une occasion de mettre en valeur les capacités et les qualités de chacun.

« T’es bête ou quoi ? Ma parole, tu le fais exprès ! »

Eh bien non, Jules ne fait pas exprès de renverser pour la troisième fois de la journée son verre de Coca. Et, quand bien même, cela ne remettrait pas en cause son intelligence. Se dire que ses parents le trouvent idiot est, on l’imagine aisément, terriblement perturbant et décourageant pour un enfant.

« Mon pauvre, tu n’arriveras jamais à rien »

OK, son bulletin est désastreux et vous n’en pouvez plus de payer des cours particuliers « pour rien ». Mais tous les enfants ont besoin d’être valorisés, encouragés dans leurs apprentissages. Ils ont besoin de la confiance de leurs parents pour avancer. Leur signifier qu’ils sont nuls à vos yeux –même si vous ne le pensez pas vraiment-, c’est tout simplement leur faire baisser les bras définitivement. Au moins, là, ils auront peut-être une chance de coller à l’image que vous en avez et de moins vous décevoir ! Et puis, n’oublions pas que les notes et les barèmes de l’école ne sont en aucun cas un maître étalon absolu et que les enfants sont en perpétuel apprentissage… Un développement qui ne se fait pas de la même manière ni à la même vitesse chez tous les enfants. Alors, on bannit absolument toute dévalorisation, extrêmement toxique pour la suite.

« T’es le meilleur, mon fils ! »

A contrario, passer son temps à placer son enfant sur un piédestal a de nombreux effets pervers. Malgré son 20 en maths, Jules sait pertinemment qu’il n’est pas le meilleur de la planète et de l’univers, en tout cas pas en tout. En lui disant qu’il l’est, au mieux, il deviendra un personnage imbus de lui-même qui aura bien du mal à attirer la sympathie avec ses airs supérieurs, au pire, il se dévalorisera complètement car il ne se sentira jamais à la hauteur de la place que vous lui avez réservée, tout là-haut, là-haut ! Alors, on encourage, on félicite mais on arrête de mentir – il le sent -, et de se mentir par la même occasion. Sinon, plus dure sera la chute !

« Tu m’embêtes avec tes questions »

Eh oui, on réalise au travers des questions, très nombreuses, que nous posent les enfants, que l’on est loin d’avoir la science infuse. Alors, quand Jules nous demande pour la énième fois dans la journée pourquoi la terre tourne autour du soleil et que l’on se sent incapable de lui répondre, ça nous agace ! Mais bon, Jules aime mieux entendre que l’on ne sait pas même si ça le contrarie un peu, que l’on va vérifier ensemble, plutôt que de se faire envoyer bouler. Comment peut-il nous embêter avec ses questions puisqu’elles font partie de son développement et que nous avons une part importante à y prendre. Mes parents, ils s’en foutent de moi, alors, risque-t-il de penser. Et ça, inutile de dire que c’est ravageur !

« Tu me fais de la peine »

Boom. Jules a fait une bêtise et, au lieu de se faire gronder comme il se doit – il était prévenu, les règles sont établies, la sanction tombe -, le voilà noyé sous le poids d’une culpabilité immense. Lui qui ne cherche que l’admiration de ses parents, lui qui veut par nature leur faire plaisir, se retrouve d’un coup rendu responsable de notre chagrin, responsable de notre déception. Alors, on se reprend et on ajuste. « Je ne suis pas contente de ce que tu as fait. Nous en avions parlé, tu étais d’accord et tu n’appliques pas la règle que nous avions établie. Tu es donc puni ». Là, c’est clair, et on n’en parle plus !

« Tu es vraiment insupportable »

Non, Jules « n’est pas » insupportable, il fait parfois ou dit parfois des choses insupportables. Et la nuance est de taille ! « Ce que tu fais là me déplaît », « ce que tu dis là n’est pas gentil » : ces phrases ne remettent en question qu’un comportement ponctuel, corrigible. Mais « Tu es méchant » a des relents de jugement irréversible que Jules pourrait bien prendre à la lettre pour s’y conformer, encore une fois pour ne pas vous décevoir. Attention aux grands mots !

« Ne t’inquiète pas, tout va bien »

Faire croire à son enfant que tout va bien alors que l’on craque de partout et que l’on est au bord de la dépression, c’est non seulement lui mentir mais en outre le prendre pour un imbécile. Les enfants sentent tout, même quand ils sont bébés, et une vérité exprimée avec des mots qu’ils peuvent comprendre, même si elle est pénible à entendre, est toujours moins néfaste qu’un affreux mensonge. Alors non, tout ne va pas bien mais qu’il ne s’inquiète pas, il n’y est pour rien et vous allez vous en sortir. Le voilà rassuré !

« Ton père (ta mère) ne vaut pas un clou »

Quand on se sépare, que les rancoeurs s’accumulent, la tentation est grande de dénigrer l’autre parent. Mais signifier à un enfant que l’autre parent est nul, c’est lui signifier qu’il est lui-même à moitié nul puisqu’on était deux, avec cet autre là, pour le concevoir. En outre, c’est faire porter à cet enfant la responsabilité d’une séparation dans laquelle, inconsciemment, on lui demande de prendre parti. Il doit pouvoir se sentir libre d’aimer autant papa que maman, de ne pas choisir entre papa et maman. Dans le même registre, évitez de demander à un enfant s’il préfère papa ou maman !

Ma derniere creation

Happy Drums

Pre-teenager tough time

“The day the child realizes that all adults are imperfect, he becomes an adolescent; the day he forgives them, he becomes an adult; the day he forgives himself, he becomes wise”

That’s a comment from ” http://squarewheeljockey.com” I find interesting.

Being a pre-teen it’s a tough age. Not yet a teenager and deep down still wanting to be a child,  realising the parents are far from perfect, their body changes, new voice for boys, growing up so quickly is exhausting and makes them clumsy for  a while because they have no time to adapt to their new size, because of that same new size, adults expect them to behave like teenagers or even adults but they’re still children really… without any wisdom, not much knowledge and almost zero experience of life… That’s tough.
Their whole perception of the world around them, their own environment, gets shattered…

Adjustment is long and hard, painful and scary… they need loads of love and patient guidance to come out perfectly healthy and well balanced, happy and appreciative of every one’s’ effort who helped them through…
I’d hate to be 12 again… unless I can go through it with my almost 40  years experience… ha ha … and even that might not be enough to overcome and smooth out the metamorphosis!

Plaisirs d’ Enfance

                      Pics de tomate chocolat-sésame

C’est l’histoire d’une fraise qui fait du cheval.

Tagada, tagada, tagada….

9 Today! Hip Hip Hurray!!

Today is one of my God children’s birthday.

He is a very special child: very lovable and easy to be drawn to. We live a long way away from each other, be it geographically or emotionally. I don’t know him much. I wish I could get to know him, I’d like to understand his differences, his likings, his views on things and people, his understanding of the world, what he likes doing, where he likes to be or go… We had some special time together a few months back and we were able to make connections, for  few seconds at a time. He is smart, and kind, actually no, he’s not just kind, he is especially very sweet.

The journey he’s taking his parent through is a tough one. I have the utmost respect for both but his mother especially. She has been and is still going through all the dilemmas mums go through, and will still keep going when we won’t have to any more.  Like many mothers she has given herself up, and more, for her children. She is highly inspiring. She is the best mum he could have hoped for.

We often take goodness for granted and sometimes we need to stop and watch the bigger picture, look back and appreciate what others do for us. Everyday. After day. After day… Mothers are amazingly underestimated but I believe this beautiful boy is who he is today because of the guidance of his parents, his mother…

I still remember my first connection with him. We had gone for a walk, just the two of us.  I was surprised his parents encouraged me to take him away by myself. I didn’t know what to expect. They trusted me, they trusted him. I had no idea what I was doing, I was scared. He wasn’t. He didn’t know me, we had seen each other a few times over the years but he had never really met me before. When we walked out, he reached out for my hand. That was it, that was the moment.  My heart melted.

I was told he was a good walker, it was true. Despite his young age he was quite happy to just walk, talk, laugh… I let him choose the way, asking him where to go, left or right? He wasn’t sure so we just kept going where ever his pace was taking us, without thinking… it was very interesting. Soon we  found the dead leaves on the road side were crackling under our weight… it made music… that was it! He glanced at me, like only he can do, and let me in… for a few seconds I felt connected. Music connected us. It seems to play a very important part in his life. We are both melomaniacs.

Today I wish I could be with him just for an hour, to celebrate his 9th birthday with a play of his choice.

Happy birthday Petit Prince!

L’Allaitement

Article trouvé sur :

Parce que c’est lui qui compte ! (pas moi)

Parce que c’est lui qui compte ! (pas moi)

Gisèle Bundchen, elle a défrayé la chronique il y a peu. Juste ici.

Comment ne pas réagir à cet article. Ou plutôt comment ne pas réagir aux commentaires engendrés par cet article ?
La Gisèle, elle peut bien dire et faire ce qu’elle veut même si sa position est à mon avis maladroitement exprimée.

Ce qui m’interpelle finalement, ce sont toutes ces réactions. Des coups de gueules, des prises de becs, des clans : les pro-nichons d’un coté, les pro-gallia de l’autre et cette lutte interminable à coups de “moi, j’ai raison et tu as tort”, “moi je suis libre de mes choix et j’assume mon allaitement ou mon non-allaitement”
De tout ce que j’ai pu lire déci-delà, une intervention m’a profondément touchée. Pleine de vérité.

“(…) La question de l’allaitement va bien au-delà du “choix” (extrêmement égocentrique…) de LA femme: il s’agit d’une question sanitaire pour l’enfant: et de premier ordre quand on découvre régulièrement que l’alimentation industrielle (dont le lait infantile…) est responsable de la multiplication des cancers, dérèglements endocriniens, maladies auto-immunes, j’en passe, et pas des meilleures… On ramène toujours tout à la mère: SA grossesse, SON accouchement, SA maternité, etc: dans tous les débats concernant la relation parents/enfants aujourd’hui, il y a un grand absent: l’enfant…. pensez-y un peu, avant de hurler à la liberté des femmes (ou ne faites pas de gosses alors: Car il est LA, le choix.)”

Elle a su transcrire en quelques mots les raisons qui ont fait que j’allaite mon fils, les raisons qui m’ont fait modifier mon alimentation pendant ma grossesse, pendant les premières semaines d’allaitement, ces raisons qui m’ont fait abandonner mon corps à l’autre, l’espace de quelques mois (années ?), ces raisons qui font que je ne suis plus la priorité depuis que je me suis pissé sur les doigts le 18 juillet 2009 à 7h du matin et que ce fameux trait rose est venu  bousculer le cours de ma vie.
J’ai décidé de faire un enfant, nous avons décidé de faire un enfant et de lui donner le meilleur, avant même la grossesse.
Et lorsque j’ai arrêté mon contraceptif, je savais que je passerai alors au second plan, que je venais de prendre une décision lourde de conséquences, que je m’engageai pour la vie en acceptant de concevoir un être vivant qui n’a rien demandé et qui serait dépendant de nous, de moi.
Avant même d’être enceinte, je me sentais déjà maman, chargée d’une mission d’une importance extrême.

Une fois enceinte, mon corps est devenu un incubateur, une machine à créer la vie. De là, j’ai, naturellement, effectué tous mes choix en fonction du gnome qui poussait dans mon ventre.
Ma mère m’a souvent répété qu’elle n’a jamais croisé de femme enceinte aussi chiante et aussi stricte sur les choix de bouffe ou le lavage des légumes (non immunisée toxo), la non-consommation d’alcool, etc.
Je continue de prendre ça comme un compliment.

Lorsque tu décides de procréer, tu ne peux pas l’envisager à la légère, fumer, boire, manger des sushis ou du saucisson.
Malgré les aléas de la vie, les choix que nous faisons sont normalement dictés par le bon sens et notre priorité reste de faire du mieux que nous le pouvons pour ce petit être.
Dans cette optique, l’allaitement est donc une évidence.

Avant d’être enceinte, j’ignorais la composition des laits artificiels à l’huile de palme ou des petits pots aux maltodextrines. J’ignorais ce qu’était une maltodextrine (merci maman de m’avoir éclairée).
Mais quand t’es en cloque, que t’es confinée chez toi à t’abrutir devant les maternelles dès 9h du mat’, t’as un peu de temps à perdre sur le net entre deux choix de layette pour te renseigner sur la future alimentation de ta descendance.
Et là, c’est l’hallu totale.
Seule avec mes chats, empêtrée dans mon canapé, le laptop au bout des doigts, que découvrais-je, naïve primi que j’étais : le lobbying de l’alimentation des tout-petits.
Gallia, Guigoz, Nidal, Modilac, Novalac, Bledina – pour ne citer qu’eux –  sont en réalité inadaptés à l’alimentation des tout-petits mais pire, ils contiennent de véritables poisons.

De là, j’ai découvert des marques en marge de la grande distribution comme HIPP, Babybio, Evernat (les deux premiers sont maintenant distribués en grandes surfaces, Casino pour HIPP et Leclerc pour Babybio).

J’ai surtout été confortée dans ma décision d’allaiter mon fils et j’ai pris la décision de lui préparer – le plus souvent possible – sa bouffe une fois diversifié.

Cela fait-il de moi une mamuniste en devenir (ou déjà établie, qui sait !) ? Peut-etre aux yeux de certains. A mes yeux, ça fait simplement de moi une maman.
Une maman, ça apprend à son petit ce qui est bien, ce qui est mal, ça joue, ça rigole, c’est sérieux quand il le faut, ça fait des bisous, ça cajole, ça console, ça rassure, ça protège. Une maman PROTÈGE son petit.

Quand on t’explique que telle ou telle chose est néfaste pour ta progéniture, tu t’en éloignes. C’est l’instinct.
Que nos mères nous aient gavés de Gallia-caca est une chose, elles n’avaient pas accès aux informations et aux diverses études scientifiques auxquelles nous avons accès aujourd’hui.
Qu’une maman choisisse aujourd’hui, en toute connaissance de cause, de donner à son tout du Guigoz-o-Prout est, par contre, ahurissant.
De donner à son enfant des choses néfastes, à répétition et dès la naissance, je ne le comprends pas.

Je conclurai en vous incitant à aller lire cet article dont la métaphore est extrêmement bien trouvée et en rappelant aux parents que selon l’Organisation Mondiale de la Santé, pour nourrir nos enfants le lait artificiel n’est à considérer qu’en dernier recours après :

1/ l’allaitement ;
2/ le lait de la mère exprimé et donné à l’enfant autrement qu’au sein ;
3/ le lait d’une autre maman ; et
4/ la nourriture artificielle

Carte De Prédiction Du Sexe De L’Enfant

Article trouvé sur Chine Nouvelle.

Lors d’une fouille récente d’une ancienne tombe royale, un archéologue chinois sortit de terre un étrange document. Ce féru d’astrologie sentant l’extraordinaire de sa découverte, le ramena dans son laboratoire afin de mieux l’étudier.

Un beau matin, après de longs mois d’efforts, de sueur et de solitude, notre chercheur en perça enfin le secret. Ce qu’il avait, dépliée sous ses yeux et rédigée il y a plus de 700 ans par d’illustres ancêtres, n’était autre que la fameuse «carte de prédiction du sexe de l’enfant». D’une exactitude déconcertante La carte est actuellement conservée en sécurité à l’«Institut des Sciences de Pékin».

La validité des prédictions a été vérifiée depuis, sur des milliers de personnes, avec un taux de succès frôlant les 50%.

De cette découverte hors du commun, nous avons conçu un outil pas comme les autres.  Cependant, l’équipe de Chine Nouvelle décline toute responsabilité en cas d’erreur. Les bébés ne seront ni repris, ni échangés.

Avec tout le respect que je dois a ce document je ne peux m’empêcher de trouver particulièrement  amusant le coup  du “taux de succès de 50%” …  😉